Scarlett est partout

Publié le 16 Août 2013

Scarlett est partout

Anne-Sophie et Marie-Aldine pourront la critiquer tant qu'elles veulent, émettre des théories sur son pseudo-charme dans La femme parfaite est une connasse (grosse marrade sur ma serviette pendant les deux heures de bronzette qu'il m'a fallu pour lire ce livre cet été), moi depuis Lost in Translation, Scarlett je la kiffe !

Du coup, je trouve ça assez rigolo de voir comme, en plus d'être la muse de cinéastes comme Woody Allen, Robert Redford ou Sofia Coppola, elle inspire aussi nos écrivains franco-français.

Et puisque je vous ai quelque fois bassinés avec les Listes de mes envies, je ne pouvais pas passer à côté du dernier roman de Grégoire Delacourt : La première chose que l'on regarde.

Le 15 septembre 2010, Arthur Dreyfuss, en marcel et caleçon Schtroumpfs, regarde un épisode des Soprano quand on frappe à sa porte.
Face à lui : Scarlett Johansson.
Il a vingt ans, il est garagiste.
Elle en a vingt-six, et elle a
quelque chose de cassé.

A la lecture du pitch, je ne savais pas trop à quoi m'attendre, mais je restais assez intriguée pour découvrir leurs aventures. Et sans vouloir dévoiler l'histoire dans le détail, j'ai aimé retrouver ce qui m'avait plu dans La liste, à savoir, un quotidien banal, tout à coup transformé par un événement hors du commun (devenir millionnaire, ou voir la femme la plus sexy 200-jesaispluscombien débarquer au milieu de votre salon). Car on a beau rêver de ce genre de choses (notamment de Ryan Gosling en mieux), la confrontation du rêve au réel peut être plus compliquée que prévue et ne pas apporter le bonheur attendu.

Je me rends compte que mes mots ne sont pas "limpides" mais je ne peux pas en dire beaucoup plus sans spoiler. J'en resterai donc à ce duo improbable, à cet amour naissant, malgré leurs passés douloureux et je vous laisse découvrir la suite.

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Rédigé par AnneSoA

Publié dans #Trucalire

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